En 1952 l'OTAN a intégré la Turquie, pays qui a toujours refusé de reconnaître le génocide des Arméniens
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Cet argument est utilisé dans les débats L'Europe occidentale est-elle en déclin ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, Les pays de l'OTAN doivent-ils sanctionner la Russie pour son invasion de l'Ukraine ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Le marxisme doit-il être abandonné ? et Faut-il accepter l'immigration ?.
Cet argument est une justification de Les "démocraties" de l'OTAN n'ont aucun problème avec les dictatures qui servent leurs intérêts.
Mots-clés : aucun
Résumé
Le génocide des Arméniens était dans toutes les mémoires, et pour cause: on avait découvert au procès de Nuremberg une phrase d'Hitler -ou d'un ature nazi, on n'était pas absolument sûr- prononcée le 22 août 1939 destinée à justifier les prochains forfaits du Führer en Pologne : "Qui donc parle encore aujourd'hui de l'extermination des Arméniens ? " La mise en place juridique du crime de génocide doit beaucoup à cette phrase. On considérait donc que l'impunité et l'oubli du génocide de 1915 avait encouragé les génocides des années 1939-1945. Accepter de la part des pays de l'OTAN la négation perpétuelle du génocide des Arméniens par la Turquie revenait donc à le cautionner et à risquer la programmation d'autres génocides que n'importe quel groupe criminel pourrait nier.