Chercher à "guérir" les gens d'un supposé racisme est en train de devenir un fond de commerce d'entrepreneurs wokes

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Résumé

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Citations

« A growing number of women are paying to confront their privilege – and racism – at dinners that cost $2,500 […] The women who sign up for these dinners are not who most would see as racist. They are well-read and well-meaning. They are mostly Democrats. Some have adopted black children, many have partners who are people of color, some have been doing work towards inclusivity and diversity for decades. But they acknowledge they also have unchecked biases. They are there because they “know [they] are part of the problem, and want to be part of the solution,” as host Jess Campbell-Swanson says before dinner starts. »

Poppy Noor, « Why liberal white women pay a lot of money to learn over dinner how they're racist », The Guardian, 3/02/2020.

Références

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Justifications

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Objections

• Toute lutte, même venant d'entreprise, visant sincèrement à combattre le racisme est bonne à prendremodifier
• Le terme "woke" sert uniquement à disqualifier tout ce qui ne plaît pas à l'extrême-droite en se dispensant de parler du fondmodifier
• L'exploitation commerciale des luttes sociales est aussi vieille que le capitalisme, ça n'a rien à voir avec un quelconque "wokisme"modifier
• L'instrumentalisation du progressisme tient plus d'un dévoiement à des fins de marketing qu'au "wokisme"modifier

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Débat parent

• La France est-elle un pays raciste ?

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